Parme

mardi 16 avril 2013 , par Marx Teirriet

Une à une, larmes, gouttez !
En vidant mon cœur énamouré.
Que chacune, parme, mêlée
De nos ans, nos sueurs, file à jamais.

Ô diurnes vacarmes !
Ô nocturne pâleur !
Envahis de rancœurs épuisées...

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